mardi 10 juin 2014

Lady Gaga ou la poufiasse "féministe" numéro 1 !


À l'heure où la question du "féminisme" revient toutes les semaines, il est temps de montrer à quel point toutes ces polémiques de guerre des sexes nous sont insufflées par notre quotidien, notamment par le biais d'idoles promotionnées et dirigées par un nombre limité de maisons de disques. Ça fait des années que nous sommes martelés par le biais de refrains plus ou moins suggestifs, où la musicalité et l'atmosphère décontractée des boîtes de nuit sifflotent à une jeunesse naïve une mélodie qui lui suggère d'adopter une posture nonchalante à un certain mépris à son encontre.

Car oui, ça fait des années que des clips musicaux nous livrent l'image d'une femme émancipée de l'homme (mais pas du capitalisme) qui vit fièrement ce dont elle a envie et qui se venge de l'homme macho par divers procédés sournois. En d'autres terme, une salope. Loin de ma conception du féminisme.
En parallèle, ça fait des années qu'on nous vend l'image de l'homme dont toute virilité s'apparenterait au machisme et à une posture passive de l'homme, et qui trouve donc son modèle à suivre dans un homme féminisé, métrosexuel voir asexué ou transsexuel.

Conchita Wurst, gagnant(e) de l'eurovision 2014.

Comment démontrer ça ? Simple, faire des articles qui démontrent l'obsession pathologique de toutes ces "stars" qui pullulent depuis des années et qui ont créé progressivement, par leur redondance dans le temps et leur déguisement artistique qui fait que personne ne s'en soucie, une ambiance de guerre entre l'homme et la femme. Des articles sous forme de classement, et il y a tellement d'exemples que je ne sais pas où je peux m'arrêter, donc autant commencer par la première place, que je dédie à Lady Gaga.

Ce n'est sûrement pas la plus vieille des "féministes" (je mettrais systématiquement ce mot entre guillemet vous l'aurez compris), mais sûrement celle qui représente le plus par ses clips symboliquement fort, l'image de la femme et de l'homme que le "progressisme" tente de nous imposer.

Les deux premiers clips qui ont fait émergés Lady Gaga sont "Just Dance" et "Poker Face".

Juste Dance, une musique et un clip prônant l'hédonisme d'une fille qui se réveille shooté et bourré dans une boite de nuit (elle ne sait plus laquelle) et qui veut juste danser comme une vulgaire trainée. Une femme libre et émancipée quoi... Elle ne manquera pas d'ajouter à la fin :

"Allez, met en avant tes muscles, sculpte-les et échauffe-toi
Je l'ai,  reste assez près ce soir si tu le veux
Vas- y doucement, dirige, nettoie tout ça, éteins les lumières, saigne ça
Dépense tout jusqu'au dernier centime"

Intéressante phrase qui va dans le sens du titre "Poker Face" (qu'on peut traduire comme "Visage impassible" soit l'expression du visage qu'on fait quand on joue au poker) qui fait l'apologie de la trahison par le regard. En gros, cacher ce qu'on a derrière la tête, à savoir :

"Je ne te dirai pas que je t'aime
Ni t'embrasser ou te faire un câlin
 
Car je bluffe avec mon muffin [néologisme pour dire Vagin]
Je ne mens pas je suis juste stupéfiante avec mon amour-addictif-ravageur
Juste comme une meuf au casino
 
Mets ta banque en lieu sur avant que je la dévalise
Je le promets, le promets
Vérifie ma pioche car je suis merveilleuse"

La féministe Lady Gaga prône en fait le comportement d'une vulgaire pute, séduire pour de l'argent. La femme vénale sans vergogne qui joue au poker avec l'homme.


Le Clip "Paparazzi" est à mon sens un des plus intéressants. Il mets en fait en scène des images qui, au fur et à mesure, montre tout le contraire de ce que chante Lady Gaga.
Pour commencer, avant la musique, Lady Gaga se fait trahir par son homme qui la met à découvert pour qu'un Paparazzi puisse la photographier de loin. Lady Gaga s'en rend compte et s'en suit une altercation avec son homme qui la pousse du haut d'un muret.

Au niveau des journaux, Lady Gaga est au plus bas, elle semble d'ailleurs morte, puis nous revient tétraplégique dans une chaise roulante et commence à remarcher. Une sorte de renaissance. Tout le long du clip, Lady Gaga chante :

"Je suis ta plus grande fan
Je te suivrais jusqu'à ce que tu m'aimes
Papa-paparazzi
Bébé il n'y d'autre superstar que toi
Tu sais que je serai ta
Papa-paparazzi

Je promets que je serai sage
Mais je n’arrêterais pas avant que ce mec soit le mien
Bébé tu seras célèbre
Je te courrais après jusqu'à ce que tu m'aimes
Papa-paparazzi"


Pour le coup, elle a pas l'air rancunière. Sauf que dans le clip, rien à voir, cette dernière empoisonne l'homme qui l'a trahi, juste après qu'un journal la concernant titre "the new girl" (la nouvelle fille) que la typographie du clip met bien en avant. C'est une fois l'homme mort empoisonné que les journaux titrent qu'elle est de retour, que tout le monde l'aime à nouveau etc. Une femme libéré du diktat de son homme et qui tient sa vengeance. On rencontre une nouvelle fois cette perfidie entre les actes et les mots pour arriver à ses fins, ainsi que cette constante vengeance envers l'homme qui a toujours fait souffrir la femme.

 
Quelques captures d'écran du clip Paparazzi.

On notera durant le clip, des clichés sur de nombreuses femmes mortes dans des tenues qui laissent penser qu'elles étaient des femmes au service de l'homme (femme de ménage, strip-teaseuse, prostituée, infirmière de maison, jardinière etc.). Ces femmes là sont mortes, place aux femmes qui se vengent de l'homme et qui n'ont même plus besoin de l'homme pour être satisfaite sexuellement en se dirigeant vers ... le lesbianisme !

Et c'est une autre constante qu'on retrouve souvent dans les clips musicaux (dont ceux de Lady Gaga), à commencer par ce même clip où on voit Lady Gaga en train de s'amuser avec 3 autres filles. On se souviendra d'ailleurs, en dehors des clips, du baiser de Madonna à Christina Aguilera et Britney Spears qui pourraient toutes les trois être intégrées au classement.


La vengeance féministe de Lady Gaga se cache dans quasiment TOUS ses clips, mais l'un des plus symboliques semblent être Telephone avec Beyoncé (pour qui les femmes dirigent le monde d'après un de ses clips, sûrement un hasard). L'histoire ? Une femme (Lady Gaga) qui en a marre de son homme qui l'appelle tout le temps sur son téléphone, et qui est symbolisé au début du clip par ... une prison pour femmes. Une manière de représenter la vengeance à travers le clip est d'ailleurs, en plus du lesbianisme, de représenter l'homme dans des postures d'infériorité où même de femmes. Et bien sûr, dans une prison symbolisant l'emprise masculine, il serait con de mettre des femmes gardien de prison. Problème, les prison pour femmes sont généralement gardées par des gardiennes ... Comment faire ?

Ah oui moi je sais ! On a qu'à mettre des vieux travelos bien dégueulasses !

 

Voilà, maintenant le petit ami appelle, là Lady Gaga l’envoie chier ce qui déclenche tout, 3-4 musique, la voilà en train de se libérer en dansant et en quittant la prison. C'est là que Beyoncé l'attends à la sortie de la prison métaphorique dans le "pussy wagon" (Le wagon du vagin) en lui balançant "Tu vas y retourner", puis "tu as été une très vilaine fille", un sermon qui se suit d'un dialogue assez mesquin où les deux acolytes préparent leur vengeance.

Ils arrivent alors dans un bar restaurant où Beyoncé joue de ses formes généreuses pour séduire un homme buvant son café, à priori le petit ami de Lady Gaga. Ce dernier quitte la table un instant, ce qui va permettre à Beyoncé d'empoisonner le café, puis revient en tapant au passage sur la fesse d'une femme assise au bar (pour bien nous faire comprendre que c'est un macho). L'homme en buvant son café s'étouffe et arrive son plat que lui apporte une Lady Gaga déguisé. Afin de faire passer le tout, l'homme s'empresse de manger, mais la nourriture elle aussi était bien évidemment empoisonnée.

Une nourriture empoisonnée que Lady Gaga a préparé comme dans une vieille pub des années 60.

Comparaison entre Lady Gaga dans le clip "Telephone" et une femme dans une pub Tupperware des années 60. Le petit tablier, la coupe de cheveux rétro et la typographie kitsch dans des tons colorés similaires.

C'est donc cette femme, la femme typique et traditionnelle des années 60 qui se venge. On remarquera que lors d'images précédentes, Lady Gaga préparait des sandwichs en compagnie d'hommes à la danse efféminée (maquillés comme cette dernière par ailleurs), mais que le poison a été préparé sans leur compagnie.

Après que l'homme fut tué, c'est au tour de tout le bar-restaurant d'être empoisonné, et notamment la femme qui s'est laissée tapé sur la fesse sans broncher quelques minutes avant, et qui est montrée en premier plan.


Un restaurant qui symbolise en fait un système machiste embarquant la femme dans un engrenage de soumission. Avant la fin du clip, Lady Gaga promet à Beyoncé de ne plus jamais revenir [dans ce système] en lui tenant la main fermement, symbolisant l'amour, comme le laisse transparaître le cœur grandissant qui apparaît à l'écran pour mener la transition à l'image suivante. Le lesbianisme comme force du "féminisme" revanchard, CQFD.


Je ne peux parler de Lady Gaga sans parler du clip Alejandro qui expose très clairement ce qui a été dit avec certains points supplémentaires. Premièrement, dans le clip, un service d'hommes uniformisés, telle une armée, est apparemment au service de Lady Gaga qui apparait tel un dictateur. Ces hommes, aux allures guerrières et solides, sont pourtant montrés assez féminisés dans le clip comme le montre certaines scènes où ils portent des talons avec des postures typiquement féminines.

Les danses mettent parfois en scène Lady Gaga avec l'un d'entre eux, laissant penser à des scènes sexuels où apparemment Lady Gaga est celle qui sodomise l'homme.


Lady Gaga est obsédée par la domination de l'homme par différents moyens. En le combattant et en se passant de lui par le lesbianisme ou au contraire en jouant de ses attributs féminins pour jouer un jeu sournois avec lui, lui faisant croire qu'il mène le jeu. C'est la guerre des sexes où les attributs féminins sont les armes, et c'est d'ailleurs bien symbolisé dans le clip :

Lady Gaga avec des seins en guise de mitraillette, accompagné de ses "sbires" uniformes. Je vous présente le "féminisme".

Mais Lady Gaga ne s'arrête pas là puisque cette-fois, elle y intègre une nouvelle composante, l'anti-christianisme et même le satanisme, n'ayons pas peur du mot. Et il n'y a rien d'étonnant là-dedans puisque les valeurs chrétiennes qui ont contribué pour beaucoup à fonder la société occidentale sont le dernier bastion de la préservation d'un équilibre sociétal traditionnel entre l'homme et la femme (comme le montre les manifestations chrétiennes contre le mariage homo). C'est une lutte qui ne date pas d'hier, le progressisme contre le conservatisme, où l'église a toujours symbolisé un ordre ancien de par le rôle qu'il a pu jouer (mariage, enseignement, règles de vie etc.).

L'anti-christianisme est d'ailleurs une sorte d'obsession des femens qui aiment choisir les églises pour faire leurs obscénités. Nous voyons ainsi dans le clip, lady gaga avalant un chapelet chrétien. L'église est donc destiné à être digéré et la foi chrétienne à être ravalé.

Ce qu'on peut exhiber par contre, c'est le malin. D'ailleurs le mot "coquin" a perdu toute sa connotation relative à la malhonnêteté et à l'espièglerie pour devenir un petit mot sympa déculpabilisant l'acte sexuel débridé, un peu comme "pêché mignon" on associe "plaisir coquin". Car en effet selon larousse, la définition de coquin c'est :
"Personne sans scrupule, capable de bassesse et de malhonnêteté" (voir ici).
Une transgression linguistique qui donne un aperçu de la force d'un travail de longue haleine.

Image du haut : Lady Gaga gobe entièrement un chapelet catholique. Image du bas : Lady Gaga exhibe son sexe au service du malin (la croix inversé étant tout simplement un symbole satanique largement utilisé), comme une arme lui permettant le contrôle de ses sbires masculins.

 
Soyez attentif : féminiser l'homme est un objectif, afin qu'il démontre sa soumission à la femme et qu'il puisse servir la cause féministe qui se bat notamment contre l'église et les traditions. Et c'est dans le clip "Judas" (ça s'invente pas) qu'on trouve l'image métaphorique la plus parlante :

Lady Gaga tient une arme à feu "tirant" un rouge à lèvre destiné à Judas. Judas est ainsi maquillé par l'arme du "féminisme". Judas une fois rendu féminin, est donc potentiellement au service du féminisme et contre le christianisme. Quoi de mieux pour le symboliser que la scène du fameux baiser de Judas (trahissant le christ), où dans cette version, Judas a une tonne de rouge à lèvre :



Ce titre est donc un hymne à Judas, porteur de la trahison du Christ mis au goût du jour à la sauce "féministe". Une chanson d'amour pour Judas, ouvertement sous forme de pied de nez au christianisme comme en témoigne les paroles.

On pourrait se dire qu'on a fait le tour après tous ces clips, pourtant il n'en est rien. Je n'ai pas parlé de "Bad Romance" où les paroles explicites, associées aux images du clip, montre un numéro de charme de Lady Gaga envers un homme, dont la finalité est là :

Après un jeu de séduction et un apparent jeu de jambe en l'air, il en résulte un homme mort calciné.
La femme qui détruit l'homme par le jeu de la séduction, et qui le rend à son service, je sais je radote. Mais une fois n'est pas coutume, il se trouve que c'est exactement le thème de son nouveau titre intitulé "G.U.Y." signifiant "Girl Under You" (femme en dessous de toi). 

"Guy" se traduit "mec", la "femme en dessous de toi" qui prend la place de l'homme par un jeu perfide dont l'instrument est le sexe. On remarquera que tout ceci est pour le coup complètement compatible avec le discours machiste du prototype du rappeur américain qui relègue la femme au rang d'accessoire sexuel en la traitant de salope. Discours féministe ? Mes couilles.

Mélangez Lady Gaga et 50 Cent en boite de nuit, et vous avez l'homme qui tire son coup et la femme qui joue du sexe pour prétendre à le dominer. L'amour c'est pour les vieux !

Mais commençons l'analyse du clip GUY, et en réalité, il n'y a pas vraiment à chercher loin, il n'y a qu'à écouter les paroles, notamment au second couplet :
Je vais dire le mot magique
Et te posséder
Tu seras ma "G.I.R.L." (Acronyme signifiant FILLE)
Mec j'ai romancé notre amour pour te détenir (C'est la signification de l'acronyme GIRL : "GUY i'm romancing loves to hold you")
Sache que mon maquillage t’ira à merveille

On note simplement un mélange des genres, l'homme sera la femme et inversement. Cela rappelle d'ailleurs son clip "Yoü and I" où cette dernière est déguisée en homme qui boit d'la bière, fume ses clopes et touche le cul d'sa femme. Pourtant le clip semble symboliser le mariage ahah.

Lady Gaga en homme, dans son clip Yoü and I.
Dans cette même trame du jeu de la séduction, le clip GUY est fourni en métaphores visuelles assez révélatrices, comme la représentation d'un mariage sous l'intitulé "mode de jeu", ou encore plus tard, une scène où Lady Gaga tient dans la main une fausse pomme (le fruit défendu représentant le pêché de chair), dans un jeu de séduction avec un homme. Une manière de nous rappeler le caractère fallacieux de la relation homme-femme qu'elle tente d'instituer.


Le clip est en fait très macabre, on assiste à l'exhumation de 4 cadavres dont seuls 3 sont révélés (tous masculins) à savoir : Mickaël Jackson, Gandhi et Jésus Christ (on note une nouvelle fois le caractère anti-chrétien). Le sang de ces cadavres est récolté pour permettre le clonage à la chaîne, comme en usine, d'hommes qui aideront dans la chorégraphie à camoufler le meurtre d'hommes à hautes responsabilité par Lady Gaga et deux de ses copines.


Clonage d'hommes à partir des sangs de Jésus Christ, Gandhi et Mickael Jackson, par deux femmes dotées de cornes, dans un accoutrement d'infirmière sexy (qui est pourtant un cliché machiste).
Le clip comporte d'autres images où l'homme se trouve ridiculisé, comme par exemple à 1 minutes 25 où des hommes qui sont apparemment des nageurs-sauveteurs, possèdent des brassards qu'on mets aux enfants qui ne savent pas nager. 

Conclusion :

C'est dans une constance pathologique qu'on retrouve les clés d'un "féminisme" revanchard et haineux qui se base sur quelques redondances : 
- Le lesbianisme comme manière d'échapper à l'homme tout en gardant une satisfaction sexuelle.
- La féminisation de l'homme afin de le ridiculiser par vengeance et de symboliser cet égalitarisme dictatorial.
- Le sexe débridé comme un moyen pour la femme de dominer l'homme, en feintant un jeu perfide où la femme se dit dominée.
- L'indifférenciation des genres par l'accoutrement (homme maquillé, femme en pantalon etc.).

Lady Gaga symbolise pour moi tout cela à la fois, et de manière quasi-systématique. Croire que tout ça n'a pas de répercussions sur les idéaux d'une jeunesse en manque de repères par manque d'éducation, est de l'ordre de la naïveté. Afin de vous donner une clé supplémentaire, vous noterez qu'en ce moment, la coupe demi-rasée est à la mode et je pense qu'elle n'est pas à son apogée. 

Avoir la coupe rasé d'un homme et la longue chevelure d'une femme, c'est le message égalitarisme de cette coupe.

 Et contrairement à ce qu'on peut croire, cette coupe n'est pas du tout contemporaine puisque Annemarie Schwarzenbach, une écrivaine de l'entre-deux guerre et symbole d'une littérature féminine émancipatrice, la portait déjà dans une forme plus épurée. Ce n'est d'ailleurs sûrement pas un hasard si celle-ci était lesbienne.

Rihanna, Cassie et Annemarie Schwarzenbach.
Vous n'aurez qu'à compter les gamines qui portent actuellement cette coupe, dans un style vestimentaire aguicheur souvent accompagné d'écouteurs dans les oreilles, qui leur roucoulent ce genre de saloperies chansonnières à la mode. Ne croyez pas que la musique n'est que de la musique.

L'analyse des clips de Lady Gaga n'est probablement pas terminée, mais je crois avoir suffisamment prouvé par la redondance des faits, un certain objectif. Cet objectif qui est en réalité partagée pas un bon nombre de chanteuses actuelles (où plutôt par les maisons de disques qui leur dicte un code de conduite), usant des mêmes méthodes et concepts, comme nous le verrons dans un prochain article sur la personne en 2ème position dans mon classement.